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| Sujet: et on mangera les pissenlits par la racine + oz Mer 10 Mai - 23:40 | |
| Oz Gallagher - - J'trouve pas les réponses p't'être que j'suis comme Mario La tête dans les nuages à la recherche d'une vie cachée- - ©glory and gore/inachevés, casseurs flowters.
nom complet - Oz, Oz comme le magicien, Oz qui ne fait pourtant rien d'autre que faire vrombir les moteurs, à se complaire dans sa vie de clandestin, à salir encore ses mains, à profiter de ses potes malgré les chaînes qui se resserrent autour de lui pour oublier qu'il a foiré. Gallagher, ça fait pâlir les gens, ça le fait souvent sourire, il imagine les scénarios sanglants qui se mettent en place dans les esprits pourris des gens qui apprennent son nom. Fils de motard, fils du grand méchant loup, fils d'un criminel, voilà tout ce qu'il est, un peu trop souvent, pour les gens. âge, date & lieu de naissance - 25 ans qu'il traîne dans les rues, à saccager de couleurs les murs et à rire de lui-même et des autres. origines et nationalité - il vient d'ici, pas vraiment d'ailleurs, il sait pas grand chose de ses origines Oz, il se sait irlandais et en est fier, sûrement un peu trop. job/études, statut monétaire - il a aucune passion, pas vraiment de projets d'avenirs non plus, si ce n'est s'éclater jusqu'à ce que son cœur s'arrête sous le poids trop lourd de l'amusement, mourir dans un fou rire puis souvent il gagne son fric en réparant des ordinateurs, juste parce qu'il est au moins doué là-dedans. statut civil - Oz ne se donne pas, il prend, il a jamais trop attendu l'amour et les sentiments qui ont l'air d'étouffer les autres jusqu'à ce qu'ils en deviennent des ombres, il veut juste aimer le temps d'un soir puis lâcher quand ça lui prend, il a pas envie de s'engager, trouve ça trop ennuyeux. traits de caractère - ingénieux, il l'est, toujours à la recherche de nouvelles conneries pour emmerder les autres, se jouer des gens sans pour autant chercher à leur faire du mal mais y'a l'ombre d'un sanguinaire qui gronde au fond de lui, il fait un peu trop souvent pleuvoir ses poings Oz, il a baigné dans ça depuis petit, toujours à mater son père et ses potes éclater les gueules des mecs qui méritent une leçon. Il s'énerve peut-être un peu trop facilement Oz, il perd trop vite patience avec les longues discussions qui mènent à rien et lorsque ça devient compliquer de s'en sortir juste avec des mots. Ca reste une gamin, celui qui veut rester jeune, frais, à pouvoir s'échouer longuement au bord d'une plage pour boire et picorer les lèvres de celles qui veulent bien se donner, à apprécier son statut et à savourer parfois un peu trop l'effroi des gens qui le reconnaissent, il est trop joueur, pas plus malin que d'autres, il tire juste sur le fil de la vie jusqu'à ce qu'il cède. à Crosshaven depuis - toujours. endroit préféré à Crosshaven - n'importe où et partout, il aime chaque recoin, aime se perdre dans les lieux plus sombres comme dans ceux où la lumière éclate et fait brûler ses prunelles, bien qu'il traîne un peu trop souvent odeur vous rappelant la maison - celle du tabac amer, celle de l'essence des moteurs qui grondent devant la caravane branlante puis parfois celui de la bière et de la bouffe périmé laissée là par un père qui s'fiche de tout. pièce préféré dans votre maison - sa chambre, il y passe la plupart de son temps, même si c'est qu'un bordel sans fin objet fétiche - un dé pipé. groupe - galway hooker
- home is where heart is que représente crosshaven pour vous ? ce sont ses racines, là où il a su creuser son trou pour s'y loger, c'est son refuge comme sa principale entrave parce qu'il a toujours rêvé d'ailleurs Oz. que représente le mot maison pour vous ? Plus grand chose. Il a jamais eu de maison, à proprement parler. Ca a toujours été des caravanes ou des mobil-home délabrés. Son seul chez lui est son appartement actuel et le reste c'est plus que des souvenirs d'un père frappant les murs de ses poings et lui ordonnant toujours d'être plus fort, d'être toujours plus, d'être à la hauteur. où vous voyez-vous dans dix ans ? loin d'ici, il préfère continuer d'espérer qu'il pourra partir voyager, découvrir le monde et vivre d'amusement, encore, s'en nourrir jusqu'à s'exploser le crâne et en avoir mal au cœur. ce qui vous motive dans la vie ou les personnes qui vous motive ? Les réactions des gens, l'indifférence c'est ce qui le rend nerveux, incapable de comprendre la personne, il continue de faire de la merde, de jouer au plus con parce qu'il sait que y'aura toujours quelqu'un pour réagir, pour grimacer ou esquisser un sourire. Même si il s'fiche de briser des cœurs, des corps, des existences, susciter des émotions est ce qui le motive le plus. votre remède contre la tristesse ? La nuit, la nuit et la route, le vent, la solitude pour se renctrer et les paysages noyés d'obscurité pour purger le mal qui ronge. Puis ça s'peut que parfois il noie son charin dans l'alcool, comme tant d'autres.
- i was looking for a breath of life (maman, la douce)« Ta mère n'était qu'une pute. Dans tous les sens du terme. » qu'on lui a toujours répété à Oz. Il a jamais vraiment vu sa mère. Aucune photo pour s'rappeler le visage de celle qui l'a laissé dans sa galère, au milieu de la violence et du bruit tonitruant de moteurs qui hurlent sur l'asphalte. Il la hait pas pourtant Maman, Maman n'a jamais rien fait contre lui, peut-être qu'elle n'a pas eu le choix et c'est ce qu'il cesse pas de se répéter, malgré les crachats de haine de son père sur elle. Elle, qui n'a pas de nom. Malgré la rancœur qui revient parfois, quand il est un peu ivre, que le chagrin remonte comme la nausée. Son cœur d'enfant ui se serre à l'idée de n'avoir jamais eu droit aux caresses d'une mère ni aux chansons débiles qu'on pouvait murmurer au creux de l'oreille du petit garçon qu'il était. Il a apprit auprès de son père, il a apprit à se défaire de lui-même pour survivre là où les poings sont les seuls traités de paix que l'on connaisse. « On règle ça dans l'sang ou tu dégages. » c'est la devise du géniteur, celui qui gère ses gars depuis une éternité, il lui semble.
(un crâne et deux os croisés)Ils sont sa famille, ses frères, ses sœurs, pour le peu d'meufs qui traînent dans le gang. Ils laissent la rage servir leur vie et la débauche les endormir quand ils le veulent. Oz, c'est l'prince de la misère, aux mains salies et à l'odeur de tabac, celui qui pense qu'il n'a rien à apprendre de l'autre, des autres, juste de lui-même et de ce que son destin va lui offrir.
(on les aimes, toutes, sans exceptions)Les roses sont belles mais pleins d'épines, elles piquent avec le sourire, avec leurs regards pleins de larmes enragées. Ils les aiment comme ça, douces ou rebelles, prête à tout pour lui mais ça lui fend l'âme quand elles se décident à poser leur cœur entre ses mains. C'est pas ce qu'il a voulu Oz, c'est jamais ce qu'il a voulu. C'est juste la danse des lèvres, l'apprivoisement de l'autre pour mieux les laisser partir. La vie à deux est un calvaire qu'il ne veut pas s’infliger, un Enfer dont personne ne ressort jamais indemne, il l'a déjà que trop vu, de ces mecs bannis parce que tomber amoureux de la mauvaise fille, de ces salopes qui cachent trop bien leur jeu. Oz ne veut pas finir en déchu. Le prince veut l'amusement, les rires sous un soleil prêt à s'endormir et les soupirs dans les nuits fauves.
(pour un sourire, un regard)Parfois il fait tourner la poudreuse pour son père, il fait ce qu'on lui demande Oz, pour l'rendre fier. Pour qu'il voit pas en lui juste un ptit con qui en branle pas une. Il sait bien l'avenir qu'il lui réserve, il sait qu'un jour ce sera à lui de poser la couronne de ronce sur sa tête, de prendre les décisions et diriger un troupeau prêt à lui baver sur les pieds. Par peur. Même si aujourd'hui ça peut le faire kiffer, lorsque les responsabilités tomberont, il sait bien qu'il aura qu'une seule envie : fuir. Fuir aussi loin que la chaîne qui s'enroule à ses chevilles le lui permettra.
(lunaire, elle l'est, trop)Elysse, Elysse la beauté, la jolie chose à qui il fallait pas toucher. Mais c'est trop tentant d'effleurer la porcelaine, elle a l'air belle de près, brille de loin, te manque quand elle est pas juste sous tes doigts. Elysse c'était la peau d'ivoire, les yeux d'une nuit étoilée, le rire d'une enfant perdue. Elysse c'est une pureté étrange, un peu dérangée, de ces meufs au cerveau en constante implosion, sous le poids de leurs rêves. Oz a sentit son cœur crevé sous l'coup de ses sourires, de ses paroles qui n'ont parfois pas de sens, de son innocence, son envie de la pousser loin de lui. Mais l'égoïste a oublié ses limites, elle a laissé traîner ses lèvres trop près de ses oreilles, c'est l'papillon qu'il n'a pas chassé d'un coup de main désinvolte. Il l'a fait bien plus tard, quand il en a eu marre, comme chaque fois qu'il se lasse. Et il a pas réellement supporté ses plaintes quand il a décidé d'en finir. Des mois sont passés, un silence qu'il a gêné, étrangement mais il ne confie ses maux à personnel es a étouffer pour mieux avancer. Et la voilà qui est revenu, le ventre arrondi, une folle détermination dans les yeux et Oz qui s'est sentit plus oppressé que jamais dans ce monde où il a encore fait tout foirer. Château du prince en miette et le palpitant à manqué de se disloquer en poussière. « Je le garde. » qu'elle a dit, de sa voix de colombe enchantée, dans un murmure désirable, dans une moue adorable mais Oz a refusé, il n'a jamais voulu de ce gosse, il a jamais vraiment voulu d'elle ou des autres, Oz c'est l'être solitaire qui s'accroche un peu trop mais pas à une vie pareille, pas à une existence rempli de pleurs et d'obligations.
(comme un refuge dans la nuit noire)Les clopes s'entassent dans l'cendrier, comme les problèmes qui ne cessent de lui tomber sur l'coin de la gueule. Et l'appartement, lui, n'est jamais vide, toujours des cons pour squatter, toujours ses potes pour lui faire oublier ce qu'il se cache derrière la porte, comme des démons entassés prêt à lui sauter dessus une fois qu'il sortira. L'appartement est son refuge, un vrai bordel et les murs imprégnés de bien des souvenirs, qui font rires ou grimacer. Il veut faire de sa vie quelque chose qui ne comportera pas de regrets, quitte à laisser le chaos s'imprégner de sa vie.
(scar)Elle est tombée là, devant lui, comme une pierre précieuse qui n'a l'air que d'un rocher si on ne gratte pas un peu. Scar, c'est sa cicatrice, celle qui s'est fendu à son cœur d'gamin stupide. Les rires et les sourires teintes ce lien qui s'étend depuis quelques semaines, c'est celle qui lui porte chance, qui ne lui bâillonne pas la bouche lorsqu'il s'égare à trop parler, c'est celle qui lui fait voir ses rêves dans nuits où même la lune est lassée.
(on a juste voulu bien faire)Y'a eu c'mec qui l'a voulu prendre sous son aile, comme un mauvais grand frère, comme ces mauvais gars qui pensent bien faire quand ils ne font que poursuivre le crime du destin, à enfoncer toujours plus la tête de gamins perdus dans les eaux sombres, jusqu'à ce qu'ils cessent de bouger, deviennent assez amorphes pour les suivre. Oz il a encore foiré, il a juste voulu devenir son pote, lui faire découvrir le côté plus sombre de la ville où les lumières éclatent les prunelles, où les chants rentrent dans la tête et où tout semble à un paradis perdu dans la brume. Et elle a éclaté sa bulle la conne et ses airs de bourgeoise, elle a fait giclé ses convictions pour lui retirer celui qu'il pensait heureux auprès de lui. Et plus vraiment de nouvelles alors il a laissé tomber Oz, il a plus voulu s'forcer à aimer ou à se faire aimer, il ne vit pas pour l'amour des autres, pas vrai ?
(baba au rhum) Il finit vite ivre Oz, il a jamais su tenir l'alcool. C'est pas un truc qu'il dit, qu'il avoue, comme pour conserver un minimum de fierté, comme pour pas passer pour une meuf. Quelques bières et ça commence déjà faire vriller son univers, il tangue, danse, s'étale à terre ou raconte que d'la merde. Et quand il a besoin de se noyer, de zapper que sa vie descend lentement à l'Enfer, il est presque content d'avoir un corps qui absorbe aussi vite.
(liberté et lacets tout pétés)Ça vrombit trop fort, ça fait chier, tard le soir, les voisins. Il passe parfois des nuits entières à faire des tours dans la ville sur sa vieille bécane, sa mustang laissée au garage quand il veut juste laisser l'adrénaline le rendre ivre de bonheur, quand il veut juste sentir que y'a plus que lui et la gravité pour faire battre son cœur. Parce qu'il a ses envies de solitudes, parce que parfois le silence et le vent qui siffle à ses oreilles sont de bien meilleurs compagnons de galère.
(comme un silence trop sucré)Oz c'est parfois un solitaire, il aime le rien, le regard dans le vide, s'parler à lui-même comme pour faire un point sur sa vie. Parfois il veut juste apprécier que rien ne se passe, zapper la télé en s'en grillant une, se plonger dans le noir pour ne rien faire d'autres que penser à demain.
(les doigts de fées)C'est pas un truc qu'il va dire à son père, c'est pas un truc qu'il dit à tout le monde d'ailleurs mais parfois, quand le temps se faire dur, quand il est d'humeur à vouloir gagner de la thune, il répare des ordis, juste parce qu'il s'est découvert une passion un peu idiote, parce qu'il aime ce sentiment d'allégresse un peu débile qui lui vient quand il arrive à réparer un truc qui a l'air compliqué pour les autres, parce qu'il se sent moins con depuis qu'il gagne un peu de sa vie comme ça.
(ma peau en dit trop, cette conne)Sur sa peau s'étale les esquisses de griefs du passé. De ses rixes de rues où il a failli perdre plus qu'une dent, de ses combats entre potes où ça a dérapé dans les rires et la rage de vaincre. Il a déjà vu son propre sang, connu sa couleur et le goût que ça a, comme ses mains ont été teintées de celui de ces ars sans visages. Il est trop impulsif, comme un lion qu'on laisse en cage qu'il laisse parfois sortir. Quand les mots ne suffisent plus à repousser, que les insultes ne font plus rien, il hésite plus vraiment à sortir ses poings, à fracasser les os pour entendre souffrir, rien qu'un gamin biberonné à la haine.
(ça fait même trembler les os)Gallagher. Gallagher, c'est le nom à pas prononcer, parfois ça les fait trop réagir les gens, ils se souviennent du mec terrifiant au visage mal rasé, aux yeux d'onyx où brûle l'indifférence de faire mal, qui ne cille pas devant la mort. Gallagher c'est l'mot magique, celui qu'il sort parfois pour s'marrer, observant juste les gens pâlir et fuir, loin. Et parfois ça le fait chier, qu'on voit en lui que le fils d'un monstre, que celui qui a le sang noirci par la démence.
(c'est rien, aimons juste les étoiles)Oz c'est des rêves, égarés ou effarants. Oz c'est le rire perdu dans l'obscurité, le bout rougeoyant d'une clope qui illumine la nuit comme une étoile prête à exploser, c'est le gamin qui saccage, tente de faire peur, qui s'invite là où on ne veut pas de lui, qui reste parce que ça le fait sourire d'emmerder les autres, celui qu'on appelle connard, queutard, branleur, débile. Et il savoure chacun de ces noms, sans jamais les trouver ni vrais ni faux. Celui qui ne ment pas aux autres mais préfère se mentir à lui-même, qui aime la douceur la nuit et la violence le jour, qui ne semble avoir aucun avenir mais qui rêve d'ailleurs, qui pense que, parfois, c'est ici qu'il crèvera mais son cœur de gosse soupir après ce qu'il s'passe hors des terres perdues. L'enfant perdu cherchant encore le chemin de pays imaginaire.
pseudo, prénom - whitney. âge, pays - 20 ans, la fronsse. avis sur le forum - hm y'a mieux . type de personnage - inventé avatar - douglas booth. dédicace & autre - i'm a (voilà trop drôle). |
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